Les activités humaines ont des répercussions sur l’environnement lorsqu’elles produisent des rejets (émission de polluants, eaux usées, production de déchets. Il est en de même lorsqu’elles dégradent le sol et l’habitat ou utilisent et font disparaître les ressources. Découvrez plus de détails sur les effets néfastes des actions humaines sur la planète.
Rejet des déchets industriels
L’augmentation des déchets domestiques ou de l’industrie rejetés par l’homme modifie le climat, et les rend parfois impropres à la vie. La biodiversité des espèces animales et végétales s’en trouve diminuée. La plupart du temps, les déchets industriels sont rejetés dans l’eau des rivières et des fleuves. On assiste aussi à des retombées de polluants par voie atmosphérique, notamment des pluies acides. Les polluants les plus dangereux sont les métaux lourds tels que le mercure et le plomb. Visitez le site gnews.fr pour en savoir davantage.
Les eaux peuvent être limpides et, malgré tout, polluées par ces métaux lourds. Certains êtres vivants sont exigeants et ne vivent que dans une eau très pure. Parmi ceux-ci, figurent les larves de perles et de phryganes. Lorsque les eaux sont moins pures, ces espèces disparaissent au profit d’espèces moins exigeantes sur la qualité de l’eau. Parmi ces dernières, on retrouve les vers tubifex et les larves d’éristale. La pollution des cours d’eau entraîne une modification de leur faune et de leur flore.
Marées noires
Les marées noires sont très souvent dues à des accidents de pétroliers. Elles représentent aussi de véritables catastrophes pour l’écologie. Par exemple, les oiseaux sont très touchés par ces marées noires sans oublier les enjeux climatiques. Leurs plumes, collées par les huiles noires, ne leur permettent plus de s’envoler et donc ils sont condamnés à mourir.
Sur les côtes touchées par ces désastres, la faune et la flore sont détruites. Il faut ensuite beaucoup de science et de politique pour permettre à ce milieu de retrouver son aspect et son peuplement naturels.
Pêche intensive
En raison de l’explosion démographique des années 50, les besoins en nourriture animale ont augmenté. Par exemple, on a développé la pêche et puisé sans contrôle dans les réserves de poissons jusque dans les années 70. Bien que les pêches soient parfois réglementées, les techniques et les engins de pêche actuels restent extrêmement performants.
Les satellites aident les pêcheurs à se diriger vers les eaux les plus poissonneuses. Sur les bateaux, les bancs de poissons sont repérés à l’aide de sonars. Les chalutiers possèdent des filets de plus en plus grands, ce qui permet des pêches très importantes. Ce phénomène est parfois dévastateur pour le milieu marin. L’homme est alors responsable de la diminution importante du nombre des individus des différentes espèces dans le monde.
Introduction d’une espèce dévastatrice
Il arrive aussi que l’homme soit à l’origine de la prolifération d’une espèce végétale. C’est le cas de la Caulerpa taxifolia. Cette dernière est une algue rejetée d’un aquarium dans la mer Méditerranée. Elle n’a pas de prédateur engagé et, donc, continue à se développer. Elle détruit les herbiers de posidonies qui sont de vastes prairies sous-marines. Elle est le refuge de nombreux animaux. Ces derniers disparaissent en même temps que les herbiers.